Terraform + AWS : des états géants aux déploiements en 3 minutes

“Nous n’avons pas touché à notre infrastructure AWS depuis 3 mois de peur de casser quelque chose”. Cela te rappelle quelque chose ? La solution n’est pas de changer d’outil, c’est de changer de méthodologie.

Le mensonge que nous avons cru

Nous commençons tous de la même façon : “Nous allons faire Infrastructure as Code, ça va être génial”. Et effectivement, les premiers jours sont magiques. Tu crées ton premier VPC, tes groupes de sécurité, quelques instances…. Tout fonctionne. Tu te sens comme un magicien.

Puis vient la réalité.

Six mois plus tard, tu as des états géants, des modules couplés jusqu’à la gueule, et chaque changement est une roulette russe. Ça te rappelle quelque chose ?

  1. terraform plan → 20 minutes d’attente
  2. Plan de 400 lignes que personne ne comprend
  3. “Es-tu sûr de vouloir appliquer ceci ?”
  4. Trois heures de débogage parce que quelque chose s’est mal passé à la ligne 247.

Mais il y a un facteur que peu d’équipes prennent en compte…

Ce qui fonctionne vraiment (et pourquoi personne ne te le dit)

Après avoir sauvé des dizaines de projets Terraform, la formule est plus simple que tu ne le penses :

Petits États + modules intelligents + GitOps non effrayants.

États par couche (pas par projet)

Oublie “un État pour les gouverner tous”. Divise comme ceci :

terraform/
├── network/     # VPC, subnets, NAT gateways
├── data/        # RDS, ElastiCache  
├── compute/     # EKS, ECS, ASGs
└── apps/        # ALBs, Route53

Chaque couche évolue de manière indépendante. L’équipe chargée des données peut mettre à jour RDS sans toucher au réseau. Cela peut changer la donne.

L’astuce de l’état distant

La magie consiste à relier les couches sans les coupler :

data "terraform_remote_state" "network" {
  backend = "s3"
  config = {
    bucket = "company-terraform-states"
    key    = "network/terraform.tfstate"
  }
}

# Usar outputs de otra capa
subnet_id = data.terraform_remote_state.network.outputs.private_subnet_id

Modules sans maux de tête

Pour chaque type de charge de travail, un module spécifique :

  • secure-webapp/ – ALB + WAF + instances
  • microservice/ – Service EKS + entrée + surveillance
  • data-pipeline/ – Lambda + SQS + RDS avec sauvegardes

Pas de modules “universels” nécessitant 47 paramètres.

Le multi-cloud est là

C’est là que les choses deviennent intéressantes. De nombreuses équipes adoptent des stratégies hybrides : AWS pour les applications critiques, OpenStack pour le développement et les tests.

Pourquoi ? Coût et contrôle.

# Mismo módulo, diferente cloud
module "webapp" {
  source = "./modules/webapp"
  
  # En OpenStack para dev
  provider = openstack.dev
  instance_type = "m1.medium"
  
  # En AWS para prod  
  # provider = aws.prod
  # instance_type = "t3.medium"
}

L’avenir n’est pas “AWS ou rien”. C’est la flexibilité architecturale. Le pouvoir de choisir la solution que tu veux quand tu le veux et en fonction de ton budget.

OpenTofu change les règles du jeu

Avec les changements apportés à Terraform, OpenTofu devient le choix le plus judicieux. Même syntaxe, gouvernance open source, zéro enfermement dans un fournisseur.

L’avantage est brutal : tu peux migrer progressivement sans changer une seule ligne de code. Parfait pour les équipes qui veulent du contrôle sans drame.

La question que tu dois te poser

Ta dernière application de terraformation t’a-t-elle fait perdre des années de vie ?

Si la réponse est oui, le problème n’est pas technique. Il est d’ordre méthodologique.

Les équipes qui réussissent ne sont pas celles qui connaissent toutes les ressources sur AWS. Ce sont celles qui mettent en œuvre des méthodologies qui évoluent sans souffrir.

Reconnais-tu ces symptômes dans ton équipe ? La différence entre le succès et l’enfer réside dans l’application des bonnes techniques dès le départ.


Si tu veux approfondir ces méthodologies, nos cours Terraform/OpenTofu couvrent tout, des fondamentaux aux GitOps avancés avec des cas réels multi-cloud.

Ton serveur doit-il être remplacé ? Le droit à la réparation dit non

La nouvelle directive européenne sur le droit à la réparation met fin à l’un des mythes les plus coûteux du secteur informatique: le fait de passer à du matériel “plus efficace” est toujours plus durable. Le droit à la réparation rend les produits plus faciles et plus rapides à remettre à neuf. Et dans le monde de l’informatique, cela signifie qu’il faut complètement repenser notre relation avec le matériel.

Le mythe du “nouveau matériel est toujours meilleur”.

Depuis des années, nous entendons le même discours : “ce serveur a déjà 5 ans, il faut le remplacer”. Mais est-ce vraiment le cas, as-tu regardé sur le papier si cela vaut vraiment la peine de remplacer ce Power9 d’IBM juste parce qu’il n’est plus pris en charge ? Car tu pourrais bien avoir une surprise. La réalité est beaucoup plus complexe et surtout plus coûteuse qu’il n’y paraît.

Lorsque tu achètes un nouveau serveur, tu ne paies pas seulement le prix affiché. Tu paies :

  • L’empreinte carbone de sa fabrication
  • Transport depuis l’usine
  • Gestion des déchets de l’ancien équipement
  • Coûts de migration et de configuration
  • Temps de productivité perdu pendant la transition

À l’inverse, lorsque tu remets à neuf ton matériel existant, tu rentabilises un investissement déjà amorti et tu réduis drastiquement l’impact sur l’environnement.

Faisons des mathématiques vertes : les chiffres ne mentent pas

La nouvelle réglementation sur le droit à la réparation peut prolonger la durée de vie utile des produits jusqu’à 10 ans, ce qui, en termes informatiques, se traduit par :

Pourquoi ces chiffres sont-ils si favorables ? Parce que la phase de fabrication représente 70 à 85 % de l’empreinte carbone totale de tout équipement informatique. Faire fonctionner un serveur pendant 8 à 10 ans au lieu de 3 à 5 ans, c’est littéralement doubler son efficacité environnementale.

Droit à la réparation dans les technologies de l'information et les technologies durables

Au-delà du matériel : les logiciels comptent aussi

Le droit à la réparation en informatique ne se limite pas au matériel. Il comprend :

  • Support étendu pour les systèmes d’exploitation en dehors du cycle officiel. Chez SIXE, nous nous engageons à apporter un soutien en dehors du cycle de vie imposé et nous pouvons prolonger la durée de vie utile de Linux, AIX, Ceph et d’autres systèmes.
  • Maintenance indépendante de bases de données telles que DB2, Oracle ou Informix.
  • Mises à jour de la sécurité sans avoir à migrer l’ensemble de la plateforme.
  • Optimisation continue des performances au lieu de remplacements massifs

Le droit à la réparation : plus qu’une loi, plus qu’une philosophie.

“Mon fournisseur dit qu’il n’est pas sécurisé”.

Les fabricants ont des incitations commerciales évidentes à vendre du matériel neuf. Cependant, un serveur 2018 correctement entretenu peut être plus sûr qu’un nouveau serveur mal configuré.

“Aucune pièce de rechange n’est disponible”.

Avec les fournisseurs de maintenance indépendants, la disponibilité des pièces détachées s’étend sur des années au-delà de ce que proposent les fabricants d’origine.

“Les performances seront moindres”.

Un système optimisé vieux de 5 ans peut être plus performant qu’un système neuf sans configuration adéquate.

Notre engagement durable chez SIXE : le faire durer aussi longtemps que le matériel lui-même le permettra.

Chez SIXE, nous défendons cette philosophie depuis des années. Non pas parce que c’est une tendance, mais parce que les chiffres le prouvent : une approche basée sur la maintenance préventive, l’optimisation continue et la réutilisation intelligente des ressources génère un meilleur retour sur investissement que le cycle traditionnel achat-utilisation-récupération.

Notre engagement à “faire durer pour toujours” n’est pas du marketing. C’est de l’ingénierie appliquée avec des critères économiques et environnementaux.

Conclusion : l’avenir est circulaire, pas linéaire

Le droit de réparer en informatique n’est pas une imposition réglementaire. C’est l’ occasion de repenser la façon dont nous gérons la technologie des entreprises. Une approche où l’entretien, l’optimisation et la prolongation de la durée de vie des équipements sont non seulement plus écologiques, mais aussi plus rentables.

La question n’est pas de savoir si ton entreprise s’adaptera à cette réalité. La question est de savoir si elle le fera avant ou après tes concurrents.

Prêt à faire le saut vers une informatique plus durable et plus efficace ? Découvre nos services de technologie durable et commence à optimiser ton infrastructure dès aujourd’hui.

Et si ton système te pose des problèmes, nous pouvons évaluer son efficacité avant de le remplacer.

👉Notre catalogue de conseils / services

Comment réparer l’erreur la plus courante dans Ceph ?

Ceph est une solution puissante et flexible pour le stockage distribué, mais comme tout outil complexe, il n’est pas exempt d’erreurs difficiles à diagnostiquer. Si tu obtiens le message “could not connect to ceph cluster despite configured monitors”, tu sais que quelque chose ne va pas avec ton cluster. Et non, ce n’est pas que les moniteurs sont endormis. Cette erreur est plus fréquente qu’il n’y paraît, surtout après des changements de réseau, des redémarrages ou lorsque quelqu’un a touché à la configuration “juste un peu”.

Dans cet article, nous allons droit au but : nous t’expliquons les vraies causes derrière ce problème et, plus important encore, comment le résoudre sans perdre tes données ou ta raison dans le processus.

Que signifie vraiment l’erreur “could not connect to ceph cluster despite configured monitors” ?

Lorsque Ceph te dit qu’il ne peut pas se connecter au cluster “malgré les moniteurs configurés”, ce qui se passe en réalité, c’est que le client ou le démon peut voir la configuration des moniteurs, mais ne peut établir de communication avec aucun d’entre eux. C’est comme être ghosting, tu as beau appeler, ils ne décrochent pas.

Les moniteurs Ceph sont les cerveaux du cluster : ils maintiennent la carte topologique, gèrent l’authentification et coordonnent l’état global. Sans connexion aux moniteurs, ton cluster Ceph n’est qu’un tas de disques coûteux sans aucune fonctionnalité.

Corriger les bogues de Ceph

Les 5 causes les plus courantes (et leurs solutions)

1. problèmes de réseau et de connectivité

La cause numéro un est généralement le réseau. Qu’il s’agisse de pare-feu mal configurés, de changements d’IP ou de problèmes de routage.

Diagnostic rapide :

# Verifica conectividad básica
telnet [IP_MONITOR] 6789
# o con netcat
nc -zv [IP_MONITOR] 6789

# Comprueba las rutas
ip route show

Solution :

  • Assure-toi que les ports 6789 (moniteur) et 3300 (msgr2) sont ouverts.
  • Vérifie qu’il n’y a pas de règles iptables qui bloquent la communication.
  • Si tu utilises firewalld, ouvre les services correspondants :
firewall-cmd --permanent --add-service=ceph-mon
firewall-cmd --reload

2. Monmap n’est plus à jour après les changements d’IP

Si tu as changé les IP des nœuds ou modifié la configuration du réseau, il est probable que la monmap (carte du moniteur) ne soit plus à jour.

Diagnostic :

# Revisa el monmap actual
ceph mon dump

# Compara con la configuración
cat /etc/ceph/ceph.conf | grep mon_host

Solution :

# Extrae un monmap actualizado de un monitor funcionando
ceph mon getmap -o monmap_actual

# Inyecta el monmap corregido en el monitor problemático
ceph-mon -i [MON_ID] --inject-monmap monmap_actual

3. Problèmes de synchronisation du temps

Les moniteurs Ceph sont très stricts en matière de synchronisation temporelle. Un décalage de plus de 50 ms peut provoquer cette erreur.

Diagnostic :

# Verifica el estado de NTP/chrony
chrony sources -v
# o con ntpq
ntpq -p

# Comprueba el skew entre nodos
ceph status

Solution :

# Configura chrony correctamente
systemctl enable chronyd
systemctl restart chronyd

# Si tienes servidores NTP locales, úsalos
echo "server tu.servidor.ntp.local iburst" >> /etc/chrony.conf

4. Moniteurs critiques ou corrompus

Si les moniteurs ont subi une corruption de données ou sont dans un état incohérent, ils risquent de ne pas répondre correctement.

Diagnostic :

# Revisa los logs del monitor
journalctl -u ceph-mon@[MON_ID] -f

# Verifica el estado del almacén del monitor
du -sh /var/lib/ceph/mon/ceph-[MON_ID]/

Solution :

# Para un monitor específico, reconstruye desde los OSDs
systemctl stop ceph-mon@[MON_ID]
rm -rf /var/lib/ceph/mon/ceph-[MON_ID]/*
ceph-objectstore-tool --data-path /var/lib/ceph/osd/ceph-0 --journal-path /var/lib/ceph/osd/ceph-0/journal --type bluestore --op update-mon-db --mon-store-path /tmp/mon-store
ceph-mon --mkfs -i [MON_ID] --monmap /tmp/monmap --keyring /tmp/ceph.mon.keyring

5. Configuration incorrecte du client

Parfois, le problème se situe du côté du client : configuration obsolète, clés incorrectes ou paramètres mal définis.

Diagnostic :

# Verifica la configuración del cliente
ceph config show client

# Comprueba las claves de autenticación
ceph auth list | grep client

Solution :

# Regenera las claves de cliente si es necesario
ceph auth del client.admin
ceph auth get-or-create client.admin mon 'allow *' osd 'allow *' mds 'allow *' mgr 'allow *'

# Actualiza la configuración
ceph config dump > /etc/ceph/ceph.conf
Quand demander de l’aide (avant qu’il ne soit trop tard)

Cette erreur peut s’aggraver rapidement si elle n’est pas gérée correctement. Si tu te trouves dans l’une de ces situations, il est temps d’arrêter et de demander l’aide d’un professionnel :

  • Tous les moniteurs sont éteints simultanément
  • Tu as perdu le quorum et tu ne peux pas le récupérer.
  • Les données semblent corrompues ou inaccessibles
  • Le cluster est en production et tu ne peux pas te permettre de faire des expériences.

Les clusters Ceph en production ne sont pas un environnement d’essais et d’erreurs. Un faux mouvement peut transformer un problème de connectivité en une perte de données.

La meilleure solution à l’erreur “could not connect to ceph cluster despite configured monitors” : prévenir.

Pour éviter de rencontrer cette erreur à l’avenir :

Surveillance proactive :

  • Définis des alertes sur l’état des moniteurs
  • Surveille la latence du réseau entre les nœuds
  • Contrôle la synchronisation de l’heure

Bonne pratique :

  • Déploie toujours au moins 3 moniteurs (mieux vaut 5 en production).
  • Conserve des sauvegardes régulières de la monmap et des clés.
  • Documente toute modification de la configuration du réseau
  • Utilise des automatismes (Ansiblepar exemple, est parfait pour les changements de configuration).

Tests réguliers :

  • Teste périodiquement la connectivité entre les nœuds
  • Simule les défaillances du moniteur dans l’environnement de développement
  • Vérifie que tes procédures de récupération fonctionnent

Besoin d’aide avec ton cluster Ceph ?

Les clusters de stockage distribués tels que Ceph nécessitent une expertise spécifique pour fonctionner de manière optimale. Si tu as rencontré cette erreur et que les solutions ci-dessus ne résolvent pas ton problème, ou si tu veux simplement t’assurer que ton infrastructure Ceph est correctement configurée et optimisée, nous pouvons t’aider.

Notre équipe a de l’expérience dans la résolution de problèmes Ceph complexes dans des environnements de production, du dépannage urgent à l’optimisation des performances et à la planification de la haute disponibilité.

Nous offrons de l’aide pour

Ne laisse pas un problème de connectivité devenir un gros mal de tête. La bonne expertise peut te faire gagner du temps, de l’argent et surtout du stress.

IBM Power11 – Découvrez les nouveautés

🆕 IBM Power11 est là

L’attente est terminée : aujourd’hui a lieu le lancement officiel d’IBM Power11, la nouvelle génération de serveurs qui vise à consolider Power en tant que référence en matière de performance, d’efficacité et d’ouverture.Nouveau IBM Power11

Quelles sont les nouveautés des nouveaux serveurs Power ?

IBM s’est engagé dans une conception à pile complète, avec une intégration du processeur au cloud, conçue pour simplifier la gestion, réduire les coûts et permettre l’IA sans avoir besoin de GPU. Power11 offre :

  • IBM Spyre Accelerator pour l’IA générative et les processus métier.

  • Jusqu’à 25 % de cœurs en plus par puce par rapport à Power10

  • Mémoire DDR5 avec bande passante et efficacité améliorées

  • Maintenance simultanée, cryptographie à sécurité quantique et mode automatisé économe en énergie.

  • Prise en charge complète des déploiements AIX, IBM i, Linux et hybrides (Power Virtual Server).

Regarde les modèles Power11 disponibles aujourd’hui :

  • 🔹 IBM Power S1122

    Serveur compact 2U, idéal pour les environnements où l’espace est restreint. Jusqu’à 60 cœurs Power11, 4 To de RAM DDR5 et des capacités avancées de cyber résilience et d’efficacité énergétique. Parfait pour les charges Linux, AIX ou IBM i dans les environnements de production mixtes.

    🔹 IBM Power S1124

    Conçu pour consolider les charges critiques dans un format 4U avec jusqu’à 60 cœurs, 8 To de mémoire et des doubles sockets. Idéal pour les moyennes et grandes entreprises qui recherchent la flexibilité du cloud, sans sacrifier les performances ou la sécurité.

    🔹 IBM Power E1150

    Modèle intermédiaire à forte évolutivité, conçu pour les charges exigeantes et les déploiements intensifs de SAP, de bases de données ou de virtualisation.

    🔹 IBM Power E1180

    Le plus puissant de la famille Power11. Jusqu’à 256 cœurs, 64 To de mémoire et une efficacité énergétique améliorée de 28 %. Conçu pour l’IA, l’analyse avancée et la consolidation massive dans les environnements critiques avec une disponibilité de 99,9999 %.

Une puissance plus ouverte et prête pour les hybrides

Tous les modèles Power11 peuvent également être déployés sur Power Virtual Server, intégrant des charges AIX, IBM i et Linux dans des environnements hybrides, sans qu’il soit nécessaire de réécrire les applications. De plus, la prise en charge de KVM et de PowerVM permet de choisir l’hyperviseur qui convient le mieux à l’environnement.

Disponibilité : IBM Power11 sera disponible dans le monde entier à partir du 25 juillet 2025. L’accélérateur IBM Spyre sera disponible au quatrième trimestre 2025.

Qu’en est-il de l’avenir ?

Power11 inaugure une nouvelle ère où l’IA, la sécurité quantique et l’efficacité énergétique ne sont plus des promesses, mais des fonctionnalités natives.

Si tu aimes les nouveaux modèles Power11, nous avons une bonne nouvelle pour toi, car chez SIXE nous vendons et migrons Power11 (et Power10, 9…). Chez SIXE, nous aidons nos clients à tirer le meilleur parti de la puissance de Power depuis des années.

Apprends à construire et à déployer des agents d’IA avec LangGraph en utilisant watsonx.ai

L’intelligence artificielle ne se contente plus de répondre, elle prend aussi des décisions. Avec des frameworks comme LangGraph et des plateformes comme watsonx.ai , tu peux construire des agents qui raisonnent et agissent de manière autonome 🤯.

Dans cet article, nous allons t’expliquer comment mettre en place un agent ReAct (Reasoning + Action) en local et le déployer sur IBM Cloud, le tout avec un exemple pratique incluant un outil de requête météorologique 🌤️.

Un guide pratique pour utiliser tes agents avec LangGraph et Watsonx.ai

Architecture du projet

  • Machine avec projet local
    • Ici, tu développes et testes l’agent avec Python, LangGraph et les dépendances.
  • ZIP (pip-zip)
    • Paquet avec ton code et des outils supplémentaires.
  • Spécification du logiciel
    • Environnement contenant les bibliothèques nécessaires à l’exécution de l’agent.
  • watsonx.ai
    • Platform où tu déploies le service en tant qu’API REST.
  • Stockage d’objets dans le nuage IBM
    • Stocke les actifs de déploiement.

Préparons l’environnement pour notre agent

Nous avons besoin de :

  • Python 3.12 installé
  • IBM Cloud access et watsonx.ai
  • Poésie pour la gestion des dépendances

As-tu tout ce qu’il te faut ? Avant toute chose, clone le dépôt que nous allons utiliser comme exemple. Il est basé sur les exemples officiels d’IBM.

git clone https://github.com/thomassuedbroecker/watsonx-agent-langgraph-deployment-example.git 
cd ./agents/langgraph-arxiv-research

Tout d’abord, comprenons le projet d’exemple.

[Developer Workstation] → [CI/Build Process] → [Deployment] ↓
[IBM Cloud / watsonx.ai]

Les principaux fichiers de l’agent sont :

ai_service.py
Fichier principal qui démarre le service de l’agent en production.
agent.py
Logique de base de l’agent IA basé sur LangGraph. Définit le flux de travail.
tools.py
Outils connectés à l’agent (API météo).

Diagramme de l'exemple de repo de Langgraph et watson.ai

Passons maintenant à la mise en place de l’environnement

python3.12 -m venv .venv
source ./.venv/bin/activate
python3 -m pip install --upgrade pip
python3 -m pip install poetry

Nous te recommandons également d’utiliser Anaconda ou miniconda. Il nous permet de gérer des environnements virtuels ou des paquets Python de manière simple et est largement utilisé en ML.

Pour que Python puisse trouver nos modules personnalisés (tels que les agents et les outils), nous devons inclure le répertoire actuel dans la variable d’environnement. PYTHONPATH

 

export PYTHONPATH=$(pwd):${PYTHONPATH}

echo ${PYTHONPATH}

 

Une fois l’environnement prêt, il est temps de passer aux variables. Tu dois créer un fichier config.toml si tu n’en as pas déjà un et utiliser tes identifiants IBM Cloud:

[deployment]
watsonx_apikey = "TU_APIKEY"
watsonx_url = "" # Tiene que seguir el siguiente formato: `https://{REGION}.ml.cloud.ibm.com0`
space_id = "SPACE_ID"
deployment_id = "YOUR_DEPLOYMENT_ID"
[deployment.custom]
model_id = "mistralai/mistral-large" # underlying model of WatsonxChat
thread_id = "thread-1" # Más información: https://langchain-ai.github.io/langgraph/how-tos/persistence/
sw_runtime_spec = "runtime-24.1-py3.11"

Tu trouveras tes variables ici :

https://dataplatform.cloud.ibm.com/developer-access

Une fois sur place, sélectionne ton espace de déploiement et copie les données nécessaires (API Key, Space ID, etc.).

Exécution dans les locaux de l’agent

Il est temps de tester l’agent :

source ./.venv/bin/activate
poetry run python examples/execute_ai_service_locally.py

Puisqu’il s’agit d’un agent météorologique, pourquoi n’essaies-tu pas avec quelque chose comme… ?

« Quel temps fait-il actuellement à Madrid ? »

La console devrait te donner l’heure à Madrid – félicitations, il ne nous reste plus qu’à faire le déployer dans watsonx.ai

Déploiement d’agents dans watsonx.ai

source ./.venv/bin/activate
poetry run python scripts/deploy.py
Ce code va déployer l’agent dans Watsonx.ai.
deploy.py fait ce qui suit :
  1. Lis la configuration (config.toml) avec tes identifiants et ton espace de déploiement.
  2. Rassemble ton code dans un fichier ZIP pour le télécharger sur IBM Cloud.
  3. Crée une spécification logicielle personnalisée basée sur un environnement de base (tel que runtime-24.1-py3.11).
  4. Déploie l’agent en tant que service REST dans watsonx.ai.
  5. Sauvegarde le site deployment_id , nécessaire pour interagir avec l’agent plus tard.

En bref :
prend ton agent local, le prépare et le transforme en un service accessible dans le nuage.

Vérifie que tout est correct dans watsonx.ai et va dans la section « Test ». Là, nous collons le json suivant (c’est juste une question).
{
"messages": [
{
"content": "What is the weather in Malaga?",
"data": {
"endog": [
0
],
"exog": [
0
] },
"role": "User"
}
] }
Clique sur prédire et l’agent utilisera le service_météo.
Dans le json de la réponse, tu verras le processus de l’agent -> call tool -> collect city -> process and return temperature.
Ton agent watsonx.ai est en cours d’exécution !
Si tu veux le tester à partir du terminal pour t’assurer qu’il fonctionne, utilise simplement
source ./.venv/bin/activate
poetry run python examples/query_existing_deployment.py
Conclusions

Si tu as des doutes, nous te recommandons le tutoriel vidéo suivant où tu pourras suivre pas à pas le développement connecté à watsonx.ai.

🚀 "AI Agents: A Complete Guide to Developing and Deploying on watsonx.ai with IBM Cloud" 🚀🚀 "AI Agents: A Complete Guide to Developing and Deploying on watsonx.ai with IBM Cloud" 🚀

Si tu veux approfondir ces mises en œuvre ou en savoir plus sur le développement du cloud et l’intelligence artificielle, nous t’invitons à explorer nos cours sur l’IA.👇

SIXE : Ton partenaire spécialisé dans LinuxONE 5

Peux-tu imaginer ce que ce serait d’avoir une infrastructure puissante sans payer de licences propriétaires ? Eh bien… tu peux🥳 avec LinuxONE 5

Dans un environnement technologique en constante évolution, le choix d’une infrastructure critique basée sur Linux et l’IA nécessite non seulement une technologie de pointe, mais aussi un partenaire qui maîtrise chaque couche technique et stratégique. IBM LinuxONE Emperor 5 , alimenté par le processeur IBM Telum II et ses accélérateurs d’IA intégrés, constitue une étape importante en matière de sécurité, de performance et d’évolutivité. Chez SIXE , nous sommes experts dans la conception, la mise en œuvre et le support des solutions IBM LinuxONE 5 , en combinant notre expertise des technologies IBM avec notre rôle de partenaire stratégique de Canonical, Red Hat et SUSE .

Qu’est-ce que IBM LinuxONE 5 ?

IBM LinuxONE Emperor 5 est une plateforme de nouvelle génération conçue pour les entreprises qui ont besoin de niveaux maximums de sécurité, d’efficacité énergétique… ainsi que de la possibilité de gérer des charges de travail liées à l’IA et au cloud hybride. Elle inclut de nouvelles fonctionnalités telles que :

  • Processeur IBM Telum II : avec plusieurs accélérateurs d’IA sur puce, idéal pour l’inférence sur des données colocalisées.
  • Conteneurs confidentiels : protection avancée des applications et des données dans les environnements multi-locataires.
  • Cryptage à sécurité quantique : se préparer aux futures menaces découlant de l’informatique quantique.
  • Disponibilité à 99 % : architecture conçue pour minimiser les pannes critiques.
Caractéristiques d'IBM LinuxOne5 | SIXE Partner

Ce système n’est pas qu’un simple matériel : il s’agit d’une solution intégrale qui intègre le logiciel, la sécurité et la durabilité, se positionnant ainsi comme un allié pour les transformations numériques complexes. De plus, il a l’avantage d’être open source : il ne dépend pas de licences.

Experts OpenSource et IBM

Chez SIXE, nous ne sommes pas des intermédiaires : nous sommes des ingénieurs certifiés en technologies IBM Power et open source . Contrairement aux grands partenaires qui externalisent les projets complexes, chez SIXE, nous menons chaque implémentation de LinuxONE 5 avec une équipe interne spécialisée dans :

  • IBM Power Hardware : Configuration et optimisation des systèmes IBM LinuxONE Emperor 5 et Power10 (et futurs Power11).
  • Systèmes d’exploitation : Prise en charge de Red Hat Enterprise Linux (RHEL) SUSE Linux Enterprise Server (SLES ) et Ubuntu.
  • IA et infrastructure hybride : intégration des conteneurs, de Kubernetes et des outils d’IA (comme IBM Watsonx) avec LinuxONE 5.
  • Sécurité et conformité : nous sommes experts en matière d’audits de sécurité et de licences IBM.

Qu’est-ce que nous t’offrons chez SIXE pour que tu restes chez nous ?

Les grandes entreprises traitent souvent les projets de mise en œuvre de LinuxONE 5 comme des opérations ponctuelles. Chez SIXE, nous travaillons en étroite collaboration avec tes équipes techniques pour nous assurer que la solution est adaptée à tes besoins spécifiques. Nous te proposons un différentiel :

  • Réponds rapidement aux changements d’exigences ou d’architectures.
  • Maintenir une communication directe avec les gestionnaires de systèmes.
  • Concevoir des plans de migration de l’ancien système (IBM i, AIX) vers LinuxONE 5. Tu peux voir plus de détails ici.

Relations à long terme : tu cherches un fournisseur ou un partenaire stratégique ?

Nous ne travaillons pas seulement pour conclure des affaires : nous construisons des relations durables. Une fois que tu as mis en place LinuxONE Emperor 5, nous sommes toujours là pour toi. Nous proposons une assistance technique, des formations et des mises à niveau , ce qui garantit que ton investissement continue à générer de la valeur à long terme.

Retour sur investissement : SIXE est un investissement sûr.

Chez SIXE, chaque euro investi se traduit par une valeur réelle . Sans couches de gestion inutiles ni réunions vides, nous concentrons nos ressources sur des ingénieurs et des experts ayant plus de 15 ans d’expérience dans les technologies IBM, Canonical et open source . Nous faisons partie d’un réseau mondial de spécialistes reconnus par des leaders tels qu’IBM et Canonical , ce qui renforce notre capacité à fournir des résultats exceptionnels.

Non seulement LinuxONE 5

Bien qu’une grande partie de nos activités soit axée sur les solutions IBM, nous sommes également des partenaires stratégiques de Canonical (Ubuntu), Red Hat et SUSE , et nous utilisons des technologies telles que QRadar XDR . Cette diversité nous permet de proposer des solutions complètes pour ton infrastructure.

Choisir SIXE comme partenaire pour IBM LinuxONE 5 , c’est opter pour une approche humaine, technique et stratégique. Ne laisse pas ton infrastructure critique entre les mains d’intermédiaires : fais confiance à une équipe aussi engagée que toi dans la réussite de ton projet.

👉 Pour en savoir plus sur notre offre IBM LinuxONE 5 , clique ici.

Prêt à transformer ton infrastructure avec IBM LinuxONE 5 et SIXE ? Contacte-nous et commençons ensemble.

IBM i 7.6 vs Ubuntu : analyse pour choisir (ou combiner) judicieusement

Lorsque nous parlons des serveurs IBM Power, de nombreuses décisions semblent être un combat entre deux mondes : la solidité presque légendaire d’IBM i 7.6 et la liberté d’Ubuntu Linux. Mais, et si le meilleur choix n’était ni l’un ni l’autre, mais les deux ? Dans cet article, nous allons droit au but : nous vous expliquons ce que personne ne raconte clairement, sans embellissements, sans favoritisme pour une approche unique. Juste la vérité technique, bien expliquée.


IBM i : une forteresse fermée (mais très efficace)

Si vous avez travaillé avec IBM i, vous savez de quoi nous parlons : stabilité, performance et une base de données qui ne tombe pas, même si vous y jetez un core dump problématique.

IBM i n’est pas seulement un système d’exploitation, mais une plateforme intégrée : OS, base de données (Db2 for i), sécurité, sauvegardes, virtualisation et HA native (PowerHA, Db2 Mirror) dans un seul environnement optimisé pour Power10. L’intégration de ces couches évite des couches intermédiaires ou des dépendances entre outils externes.

Le côté technique compte : IBM i fonctionne sur un micro-noyau qui gère des objets persistants sur disque avec un modèle orienté objet natif, non basé sur des fichiers. Son système de journalisation garantit la cohérence même en cas de coupures de courant, et permet journalisation à distance pour la réplication DR sans avoir besoin de snapshots.

Dans IBM i 7.6, les performances du SQL natif sont améliorées, la sécurité est renforcée (avec une authentification multifacteur intégrée et davantage de chiffrement au niveau des objets), et davantage d’API modernes (REST, OpenAPI, JSON) sont activées, permettant d’exposer la logique métier traditionnelle (RPG, COBOL) sous forme de microservices. Chez SIXE, nous avons déjà analysé toutes les nouveautés d’IBM i. Si vous souhaitez y jeter un œil, cliquez ici.


Ubuntu sur Power : liberté, mais avec responsabilités

D’un autre côté, si vous faites partie de l’équipe Linux, vous connaissez déjà ce qu’apporte Ubuntu : écosystème DevOps, conteneurs, microservices et support officiel de Canonical pour Power depuis des années, avec des images optimisées pour l’architecture ppc64le.

Ubuntu n’est pas plug-and-play comme IBM i, mais ce n’est pas son objectif non plus. Vous pouvez déployer PostgreSQL, MongoDB, Redis, Apache Kafka, Ceph… tout ce que vous voulez. Et si vous montez KVM (déjà intégré dans PowerVM), vous pouvez utiliser LXD, OpenStack ou des orchestrateurs comme MAAS ou Juju pour gérer l’environnement à grande échelle.

Ubuntu ou IBM i

Mais attention : il n’y a pas de magie. Vous devrez construire votre propre stack : HA avec Pacemaker, sauvegardes, sécurité avec SELinux… Et cela implique d’avoir de bons playbooks Ansible ou des pipelines CI/CD bien définis. Rien ne se fait tout seul.

Dans le domaine du HPC et de l’IA, Ubuntu sur Power prend de l’ampleur : Power10 (et bientôt Power11) offre une bande passante exceptionnelle, et avec le futur accélérateur IBM Spyre à l’horizon, vous pouvez entraîner des modèles sans dépendre des GPUs NVIDIA.


Et la sécurité ?

C’est là qu’IBM i brille par conception : tout le système est axé sur la sécurité. Chaque objet possède sa propre autorité, avec des profils utilisateurs hautement granulaires et un audit journal qui enregistre tout ce qui se passe, sans avoir besoin d’installer ou de configurer syslog-ng ou ELK stack.

Ubuntu, quant à lui, dispose de tout ce qu’il faut : ufw, auditd, chiffrement avec LUKS, protection au niveau des applications avec AppArmor ou SELinux… mais il faut tout intégrer manuellement et maintenir. Un environnement mal corrigé sous Ubuntu est une cible facile.

Sous IBM i, les correctifs de sécurité sont rares et contrôlés ; sous Ubuntu, il y a des mises à jour presque quotidiennes. Ce n’est pas mauvais, mais cela nécessite des processus de gestion des correctifs bien automatisés.


Coûts : attention à ce qui semble bon marché

Beaucoup de gens voient Ubuntu et disent « gratuit ! ». Mais tout ce qui brille n’est pas or. Sur les serveurs Power, le matériel reste le même, et le coût opérationnel peut exploser si vous n’automatisez pas bien ou si vous devez reproduire des services qui sont déjà prêts sous IBM i.

IBM i a une licence plus chère, c’est vrai. Mais vous pouvez faire plus avec moins de personnel. Si votre charge est critique, stable et ne varie pas chaque semaine, à moyen terme, le coût total de possession (TCO) peut jouer en sa faveur.


Modernisation : dois-je rester avec RPG ou passer aux microservices ?

Si vous avez du code en RPG, IBM i 7.6 vous permet de continuer à l’utiliser… et même de le moderniser avec des API REST, Node.js ou Python (via PASE). VS Code entre également dans le jeu et prend de plus en plus d’importance pour moderniser et écrire du code de manière plus simple.

Votre équipe préfère travailler avec des conteneurs, utiliser CI/CD et déployer ? Ubuntu. Il n’y a rien de plus à dire.


Conclusion : l’un, l’autre… ou les deux ?

Parfois, il ne s’agit pas de choisir entre blanc ou noir. Dans de nombreux environnements Power, ce qui fonctionne vraiment, c’est de combiner le meilleur des deux mondes. Voici quelques recommandations :

ScénarioRecommandation
Vous utilisez déjà IBM i avec RPG💡 Continuez et modernisez de l’intérieur
Nouvelles applications sur Power

🐧 Ubuntu avec conteneurs

Temps d’arrêt minimal, sans complications🛡️ IBM i + Db2
Liberté totale🧩 Ubuntu sur Power
Réduire la dépendance à IBM à long terme🔄 Ubuntu avec migration progressive
Équipe mixte Linux + IBM i

🐧🛢️Approche hybride : back IBM i, front Ubuntu


Et si je ne veux pas choisir ?

Bonne question. En effet, de nombreuses entreprises ne choisissent pas. Elles utilisent IBM i pour les charges critiques et stables (facturation, ERP, etc.) et Ubuntu pour tout ce qui est nouveau : API, interfaces utilisateur, microservices, IA.

Cette approche hybride vous donne le meilleur des deux mondes : la fiabilité d’IBM i, avec l’agilité et l’écosystème d’Ubuntu.


Et maintenant, que faire ?

Si vous avez des doutes, êtes en pleine planification ou avez directement votre tableur de licences ouvert… chez SIXE, nous vous aidons à analyser votre environnement et à concevoir le chemin le plus réaliste : que ce soit maintenir, migrer ou combiner. Remplissez le formulaire ici et nous prendrons contact avec vous.

Sans fioritures. Sans promesses impossibles. Seulement des solutions qui fonctionnent (vraiment) et un dialogue direct avec nos ingénieurs.

IBM i 7.6 | Tout ce que tu dois savoir sur la dernière version du système d’exploitation d’IBM

IBM i 7.6 sera disponible le 18 avril 2025. IBM i est la dernière évolution du système d’exploitation d’entreprise d’IBM, conçu exclusivement pour fonctionner sur les serveurs IBM Power (que nous prenons d’ailleurs en charge). Cette version conserve la philosophie de plateforme intégrée qui caractérise IBM i, mais ajoute de nouvelles fonctionnalités pertinentes pour les environnements modernes en matière de sécurité, de disponibilité et de prise en charge des technologies open source.

Dans cet article, nous allons explorer toutes les nouvelles fonctionnalités, les exigences et les avantages de la dernière mise à jour IBM i 7.6.

Poste en mise à jour continue. Le 10/04/2025, lors du webcast d’IBM, nous obtiendrons tous les détails d’IBM i 7.6 et nous mettrons à jour avec les nouvelles.

Clique ici pour accéder au webcast de la journée 10/04/2024.

IBM i 7.6Index

  1. Nouvelles
  2. Exigences
  3. Licences
  4. Cycle de vie
  5. Linux ou IBM i 7.6 ?
  6. IBM i 7.6 en 2025 et au-delà ?
Un système tout-en-un

IBM i 7.6 est bien plus qu’un simple système d’exploitation : il intègre un middleware, le moteur de base de données Db2 for i et une large gamme d’outils natifs pour la gestion, le développement et la haute disponibilité. Cela signifie que, contrairement aux modèles qui nécessitent l’intégration de divers composants, avec IBM i, tu as l’avantage d’une solution clé en main optimisée pour les charges de travail transactionnelles et les applications héritées écrites en RPG ou COBOL.

Principales nouveautés d’IBMi 7.6

🛡️La sécurité, un pilier fondamental

  • Authentification multifactorielle intégrée (MFA) :
    • Prise en charge des mots de passe à usage unique basés sur le temps (TOTP), tels que Google Authenticator.
    • MFA disponible même sans connexion internet.
    • Protection étendue pour les profils critiques tels que QSECOFR.
    • Mise en œuvre indépendante pour les outils de service du système (SST) et les outils de service dédiés (DST).
  • Protection des identifiants et des données sensibles :
    • Nouvelles API cryptographiques, telles que les algorithmes PBKDF-2 et ECC/SHA3.
    • Prise en charge du cryptage ASP 1 (pool de stockage auxiliaire).
    • Améliorations apportées au gestionnaire de certificats numériques (DCM) pour faciliter la gestion des certificats TLS.
  • Conformité réglementaire simplifiée :
    • Des outils avancés pour se conformer à des réglementations strictes, telles que GDPR ou HIPAA.

🧠 Amélioration de Db2 pour i

    • Nouvelles fonctionnalités SQL telles que data-change-table-reference sur UPDATE et DELETE
    • Nouvelle table SQLSTATE_INFO pour déboguer les erreurs SQL
    • Amélioration de DUMP_PLAN_CACHE avec des filtres optionnels
    • Vue directe des colonnes BLOB à partir d’ACS
    • Services SQL pour les nouvelles fonctions d’audit et de sécurité

💻 Développement avec Code for IBM i (VS Code)

    • Prise en charge des RPG libres et fixes.
    • Compilation de DDS à partir de Git.
    • Prise en charge du débogage par lots et du point de sortie du service.
    • Extension Db2 intégrée : validation SQL, résultats modifiables, aide au survol.
    • Intégration avec l’IA pour l’analyse du code et les requêtes en langage naturel.

Il semble que Code for IBM i (VS Code) soit en train de supplanter RDi en tant qu’outil de choix pour la communauté.


☁️ Haute disponibilité et reprise après sinistre (HA/DR)

  • PowerHA étend son intégration avec IBM Cloud, offrant de nouvelles fonctionnalités pour répliquer et protéger les données dans le cloud :
    • Réplication dans le nuage :
      • Prise en charge de la commutation de volume IASP (niveau LUN) et de FlashCopy.
      • Automatisation complète pour minimiser les temps d’arrêt.
    • Extensibilité hybride :
      • Conception résiliente pour les environnements hybrides (sur site + cloud).
      • Idéal pour les entreprises qui cherchent à assurer la continuité de leurs activités sans investissement matériel supplémentaire.

🧰 Navigateur pour i : nouvelle interface et plus de contrôle

    • Prise en charge complète de l’AMF par Navigator.
    • Vue de l’expiration de la licence depuis le tableau de bord + alertes d’expiration.
    • Des commandes telles que CFGHOSTSVR pour gérer les connexions non sécurisées.
    • Une connexion plus sûre et des outils de surveillance du système.

Exigences pour IBM i 7.6

Compatible uniquement avec les serveurs IBM Power10 dotés du niveau de microprogrammation FW1060 ou supérieur.

    • IBM recommande d’utiliser HMC v10 ou une version plus récente.
    • Power9 n’est pas officiellement pris en charge pour cette version.
    • Nécessite une mise à jour de VIOS et de PowerVM.

💰Licences IBMi 7.6

IBM maintient le modèle par cœur en différents niveaux (P05, P10…). La licence de base comprend :

  • IBM i + Db2 + Navigator + PASE
  • Accès aux outils open source et aux logiciels intermédiaires intégrés
Licences avec frais supplémentaires :
    • PowerHA
    • Miroir Db2
    • BRMS
    • RDi (si encore utilisé)

Cycle de vie

  • IBM i 7.6 sera pris en charge jusqu’au milieu de la prochaine décennie.

  • IBM i 7.4 entre dans la phase des“corrections seulement“, sans nouvelles fonctionnalités.

  • IBM s’est engagé à effectuer un cycle de publication tous les trois ans, et ce depuis la version 7.2.


Ubuntu ou IBM i 7.6 ?

Cela dépend de ce que tu recherches :

  • Linux (Ubuntu, RHEL): modulaire, ouvert, faible coût initial, personnel plus spécialisé, mais tu dois intégrer toute la pile toi-même (OS, base de données, HA, sécurité…).

  • IBM i 7.6: tout intégré, excellentes performances par cœur, sécurité intégrée, stabilité légendaire, moins de personnel technique requis.

Nous ferons bientôt une analyse approfondie des deux OS, alors reste à l’écoute de notre blog, car ces jours-ci, nous t’apporterons toutes les informations mises à jour sur la façon de choisir la meilleure option pour ton entreprise.


IBM i 7.6 en 2025 et au-delà ? Conclusions

IBMi 7.6 est-il fait pour toi ? Eh bien…

  • ✔️ Tu utilises Power10
  • ✔️ Tu t’appuies sur RPG ou Db2 pour l’i
  • ✔️ Tu veux une sécurité maximale sans complication

➡️ Alors IBM i 7.6 est fait pour toi.

Chez SIXE, nous pouvons t’aider dans les domaines suivants :

Tu veux savoir si IBM i 7.6 convient à ton entreprise ? Contacte-nous et nous t’aiderons.

Et si tu es passionné par le monde d’IBM Power, pour l’inauguration de notre nouveau site web, tu pourras te rendre sur le site d’IBM Power.b Dame Power, la communauté hispanique d’IBM Powernous offrons des séminaires en ligne gratuits.

La prochaine aura lieu le 24/04/2025 . Nous t’informerons des nouveautés, des conseils et des astuces d’AIX 7.3.

Nous avons des places limitées, alors n’y pense pas trop ;) Clique ici pour plus d’informations sur les webinaires.

Références

Webinaires IBM Power 2025 : apprends gratuitement avec des experts

Peux-tu imaginer trouver des solutions à tes problèmes Linux, AIX, IBM i, etc… tout en un?!🙀 Eh bien, c’est désormais possible grâce à Dame Power, la communauté hispanophone d’IBM Power.

Chez SIXE, nous sommes ravis de participer aux webinaires exclusifs de SIXE. webinaires Dame PowerLes webinaires Dame Power sont une série de sessions gratuites conçues pour t’aider à approfondir l’écosystème IBM Power.

Si tu travailles avec IBM i, AIX, Linux, PowerVM ou Kubernetes, c’est l’occasion d’apprendre directement auprès d’experts et d’appliquer les connaissances à tes projets. Découvre les tendances les plus innovantes auprès d’experts, en tête-à-tête.

📅 Webinaires IBM Power 2025

Webinaires gratuits d'IBM Power | AIX , IBM i, Linux

Tout au long de l’année, Dame Power proposera une série de webinaires axés sur des sujets clés pour les professionnels d’IBM Power :

Linux on Power : vérités, mythes et conseils pour maximiser tes performances.
AIX 7.3 : L’évolution de l’UNIX moderne et son impact sur l’entreprise.
KVM sur PowerVM : l’exploration de nouvelles possibilités en matière de virtualisation.
Kubernetes sur Power : déploiement et gestion efficaces des conteneurs.
IBM Power Security : Au-delà du marketing, de vraies stratégies pour protéger tes systèmes.

Pourquoi participer à ces webinaires ?

En participant à ces sessions, tu pourras :

✔️ Obtiens des conseils pratiques de dépannage pour IBM i, AIX, Linux et plus encore.
✔️ Découvre les tendances en matière de sécurité, de cloud, d’IA et d’edge computing.
✔️ Apprends des champions IBM qui travaillent avec Power sur des cas concrets.
✔️ Suis pas à pas les configurations avancées et l’optimisation des serveurs.

Comment s’inscrire aux webinaires de Dame Power ?

C’est très simple ! Tout ce que tu as à faire, c’est.. :

1️⃣ Clique ici pour t’abonner à la Dame Power Substack.
2️⃣ Vérifie l’email de bienvenue, où tu trouveras le formulaire d’inscription.
3️⃣ Une fois que tu l’auras rempli, tu recevras la date, l’heure et le lien pour accéder au webinaire. Accède aux webinaires à partir de ce lien.
4️⃣ Participe, pose des questions et renforce tes connaissances.

🎁 Avantages supplémentaires pour les participants

Si tu t’inscris à ces webinaires, tu auras également accès à :

🎓 Réductions exclusives sur les cours SIXE.
📄 Contenu premium : accès hors ligne aux webinaires.
🤝 Communauté : Fais partie du plus grand groupe d’experts IBM Power en espagnol.

Prépare-toi à apprendre

Ces webinaires sont plus que de simples conférences : ils constituent une véritable opportunité d’améliorer tes compétences, de te connecter avec des experts et d’appliquer de nouvelles connaissances dans ton travail quotidien.

📢 Partage cet événement pour que d’autres équipes informatiques puissent bénéficier de ces connaissances.

Comment mettre en place une architecture ML sans échouer dans sa tentative.

📌 Tu t’intéresses à l’automatisation, à l’IA, etc. Tu es au bon endroit. Chez SIXE, nous allons te dire comment mettre en place une architecture ML en évitant les erreurs les plus courantes.

L’apprentissage automatique (ML) n’est plus l’avenir, c’est le présent. Des entreprises de tous les secteurs misent sur l’intelligence artificielle pour améliorer les processus, automatiser les tâches et prendre des décisions plus intelligentes.

Mais voici un retour à la réalité dont tu ne veux peut-être pas entendre parler.

La plupart des modèles de projets de ML échouent

🔴 80 % des modèles de ML ne parviennent jamais à la production.
🔴 6 % des entreprises investissent dans la formation de leur équipe à l’IA.
🔴 De nombreuses infrastructures ne sont pas prêtes à mettre à l’échelle les projets de ML.

Et c’est là que réside le problème. Il ne suffit pas d’avoir de puissants modèles d’IA si l’infrastructure sur laquelle ils fonctionnent est en pagaille. Si ton architecture n’est pas évolutive, sécurisée et efficace, ton projet ML est voué à l’échec.

Voici comment éviter ces erreurs et concevoir une infrastructure de Machine Learning qui fonctionne vraiment.


Arrête de réinventer la roue : utilise ce que tu as déjà.

L’une des erreurs les plus courantes est de penser que tu as besoin d’une infrastructure entièrement nouvelle pour mettre en œuvre la ML. Faux.

De nombreuses entreprises disposent déjà de ressources sous-utilisées qu’elles peuvent mettre à profit pour l’apprentissage automatique :

✅ Les GPU ayant une capacité de réserve (souvent utilisés uniquement pour des tâches graphiques).
✅ Des serveurs sous-utilisés qui peuvent être alloués à des charges de travail ML.
Accès à des clouds publics qui pourraient être mieux optimisés.

📌 Conseils exclusifs de SIXE : Les grandes entreprises te vendront que tu dois acheter et acheter. A vant d’acheter plus de matériel ou d’embaucher plus de personnel, analyse ce que tu peux optimiser avec ce que tu as déjà. Si tu ne sais pas comment faire, nous pouvons le faire pour toi.. Nous réalisons des audits pour rendre ton infrastructure plus écologique et tirer le meilleur parti de tes ressources. Dépense moins, produit plus.


GPU : en tires-tu profit ?

Voici une bombe : Plus de 50 % des GPU dans les entreprises sont sous-utilisés.

Oui, ils ont acheté du matériel puissant, mais ils ne l’utilisent pas efficacement. Pourquoi ?

❌ Ils ne disposent pas d’outils de gestion du GPU.
❌ Les GPU sont attribués à des projets qui n’en ont même pas besoin.
❌ La capacité est gaspillée en raison du manque de planification.

📌 Des solutions que tu peux appliquer AUJOURD’HUI:

✅ Met en œuvre un gestionnaire de tâches et un planificateur GPU.
✅ Utilise Kubernetes pour orchestrer efficacement les modèles de ML.
✅ Adopte un planificateur de charge de travail.

Si tu envisages d’acheter plus de GPU parce qu’il n’y a “pas assez de capacité”, fais d’abord un audit. Il se peut très bien que tu puisses libérer des ressources et retarder les achats. Dans de nombreux cas, il est possible de libérer des ressources et de retarder les achats en optimisant l’infrastructure existante. Les systèmes tels que AIX, Linux, IBM i, RHEL, SUSE peuvent avoir une capacité inexploitée qui peut être réaffectée avec des ajustements techniques. Chez SIXE, nous auditons tous ces systèmes pour identifier les possibilités d’amélioration sans qu’il soit nécessaire de changer de matériel, en privilégiant l’efficacité à l’investissement.


Si tu n’automatises pas, tu vis dans le passé.

Le manque de standardisation dans le domaine de la ML est un sérieux problème. Chaque équipe utilise des outils différents, les processus ne sont pas reproductibles et tout devient chaotique.

C’est là que les MLOps entrent en jeu.

MLOps n’est pas seulement un mot à la mode ces derniers temps, c’est une nécessité pour que les modèles ML passent de l’expérimentation à la production sans maux de tête.

📌 Avantages des MLOps :

Automatise les tâches répétitives (validation, déploiement, sécurité).
Réduit les erreurs humaines dans la configuration et l’exécution des modèles.
Améliore la reproductibilité des expériences.

Si tu n’as pas de stratégie MLOps claire, ton équipe finira par faire le même travail encore et encore. Nous te recommandons de former ton équipe au MLOps pour ne plus perdre de temps sur des tâches répétitives. Chez SIXE, nous comprenons le défi que représente le MLOps et nous proposons un cours MLOps avec Ubuntu Linux conçu pour t’aider à mettre en place des flux de travail efficaces et évolutifs.


Nuage hybride : l’équilibre parfait entre coût et flexibilité.

L’éternel débat entre cloud public et cloud privé a généré plus d’un mal de tête dans les entreprises : faut-il opter pour l’agilité du cloud public ou privilégier le contrôle et la sécurité d’un cloud privé ? La bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas à choisir. Il existe une solution intermédiaire qui combine le meilleur des deux mondes : le cloud hybride.

Nuage public uniquement : peut être coûteux et soulève des problèmes de sécurité.
Nuage privé uniquement : nécessite un investissement en matériel et en maintenance.

🔹Utilise le cloud public pour les expériences rapides et les tests initiaux.
🔹Fais migrer les modèles vers le cloud privé lorsque tu as besoin de plus de contrôle et de sécurité.
🔹Assure-toi que ton infrastructure est portable pour passer d’un cloud à l’autre, en évitant les environnements incompatibles.

Grâce à la possibilité de s’interconnecter de façon transparente entre les environnements, le cloud hybride élimine le verrouillage des fournisseurs et optimise les coûts opérationnels. Une architecture hybride te donne le meilleur des deux mondes: l’agilité pour innover et la stabilité pour évoluer.


Sécurité ML : n’attends pas qu’il soit trop tard

Beaucoup de gens pensent à la sécurité lorsqu’il est trop tard. Une attaque sur tes modèles ML ou une violation de données peut avoir des conséquences désastreuses.

Meilleures pratiques pour sécuriser ton infrastructure ML :

Effectue au moins un audit de sécurité annuel de ton infrastructure.
Mets en place une authentification forte et une gestion des identités.
Chiffrer les données avant de les utiliser dans les modèles de ML.

Rappelle-toi : La sécurité n’est jamais suffisante. Plus tu as de couches de sécurité, moins tu as de chances de faire parler de toi pour une violation de données ;)


Formation : sans une équipe formée, comment pourras-tu gérer ton infrastructure ?

L’intelligence artificielle et la ML sont en constante évolution. Si ton équipement n’est pas mis à niveau, tu resteras à la traîne.

🔹 Formation dans les ateliers MLOps.
🔹 Apprentissage interne. Favorise une culture d’apprentissage continu au sein de ton organisation grâce au mentorat, à la documentation collaborative et aux sessions pratiques.

💡 Chez SIXE, nous proposons des formations MLOps pour aider les entreprises à construire des architectures évolutives et efficaces. Si ton équipe a besoin de se mettre à niveau, nous pouvons nous adapter aux besoins spécifiques de ton entreprise.


Ne perds pas des heures à courir après une erreur

Si ton infrastructure ML tombe en panne et que tu n’as pas de surveillance, tu vas passer des heures (ou des jours) à essayer de comprendre ce qui s’est passé.

📊 Outils essentiels pour l’observabilité en ML :

Tableaux de bord en temps réel pour la surveillance des modèles et du matériel.
Des alertes automatiques pour détecter les problèmes avant qu’ils ne deviennent critiques.
Des journaux détaillés pour la traçabilité des processus et la résolution des erreurs.

Si tu n’as pas une visibilité totale sur ton infrastructure, tôt ou tard, tu auras des problèmes.


Conclusion

Construire une architecture évolutive et efficace pour le Machine Learning n’est pas seulement un défi technique, mais un changement d’état d’esprit. Tire parti de tes ressources actuelles, optimise l’utilisation des GPU et adopte les MLOps pour automatiser les processus clés.

Veux-tu concevoir une architecture ML qui fonctionne vraiment ? Nous pouvons t’aider.

👉 Contacte-nous et nous t’aiderons à créer une infrastructure évolutive, sécurisée et optimisée pour l’IA.

SIXE